5 mars 2017
DES LETTRES DANS LE VENT
Cher François, je t'écris cette lettre même si je sais que tu ne la liras jamais pour te dire que maintenant cela suffit, qu'il est temps de dire au revoir. Tu es grillé comme une merguez en été et l'odeur de graillou qui colle à ton costume est incompatible...